lundi 20 février 2017

Les secrets de la richesse spirituelle et matérielle .

FIDÉLITÉ DANS LA DIME, LES OFFRANDES ET LES PRÉMICES

 

 

Passages bibliques : ( Lévitique 27 v30 -Malachie 3 v. 10 à 12 et Romains 12 v. I - 2)

I – INTRODUCTION

Parler de l'argent à l'Eglise a toujours été quelque chose de délicat.

C'est pourtant une responsabilité pour chaque Chrétien de donner 1a dime, les offrandes et les prémices.

Dieu promet de riches bénédictions àceux qui agissent fidèlement à cet égard. C'est ce que la Bible nous révèle.

II - EXPLICATIONS DE MOTS :

- Dime : Dixième partie du revenu (argent et produits agricoles) .

- Offrandes : Dons volontaires en plus, selon la prospérité.

- Prémices : Premiers fruits de la terre ou le bétail.

Je parlerai particulièrement de la dime. Sous la Nouvelle Alliance, on emploie très peu ce mot, car c'est le minimum. C'est le degré de 1a consécration de notre personne qui déterminera la valeur de nos dons devant Dieu.

III - LA NECESSITE D'EN PARLER A L'EGLISE

Les raisons sont nombreuses, mais nous ne retiendrons que les plus importantes.

I°) - JESUS nous ordonne de toutenseigner aux disciples Matthieu 28 v. 19 - 20.

2°) - Il faut permettre aux Chrétiensd'avoir accès aux diverses bénédictions divines. Malachie 3 v. 10.

3°) - L'Eglise a de nombreux besoins dont elle doit faire face.

IV - LA BIBLE EN PARLE

1°) - abram donna sa Dime après sa victoire sur ses ennemis. Genèse 13 v. 10 -20 et. Hébreux 7 V. 1-2.

2°) - JACOB s'engage à donner la dime de tout à Dieu Genèse 28

3°) - Les Juifs ne devaient pas se présenter devant Dieu les mains vides. Deutéronome 16 v. 16.

4°) - Dieu rappelle aux enfants d'Israëlque donner la Dime est un devoir. Mala. 3 v.8-9.

5°) - JESUS encourage 1a veuve qui a donné de son nécessaire, comme un acte de foi. Marc 12 v. 41 - 44.

6°) - PAUL exhorte les Corinthiens à la libéralité I Cor. 16 v. I.

NOTA

Par ces quelques passages bibliques, nous voyons que la question de la Dime

est une affaire de foi, de soumission d’obéissance à Dieu.

V - QUELS SONT CEUX QUI DOIVENT DONNER ?

1°) - Tous les rachetés de CHRIST. Romains 12 v. I

2°) - Les Missionnaires, les pasteurs, les Anciens et les Diacres. Nombres 18 v.25 - 28.

VI - POURQUOI FAUT-IL DONNER LA DIME, LES OFFRANDES ET LES PREMICES ?

1°) - C'est un ordre divin Lévit. 27 v. 30 – 33

2°) - C'est l'expression de lareconnaissance des rachetés envers Dieu pour les divers grâces reçues : (le salut,

don du Saint Esprit, les guérisons ect...) 2 Corinthiens 6 v. I.

3°) - Nous avons 1a paix de Christ. Jean 14 v. 27 et Matthieu 28.

4°) - Afin de participer à l'œuvre de Dieu 3 Jean v. 6.

5°) - Afin d'honorer Dieu avec nos biens. Proverbes 3 v. 9.

NOTA

Notre argent n'est plus dépensé pour chercher la paix et la joie dans les choses vaines de ce monde. Pourquoi ne pas apporter avec joie à Dieu le minimum qu'il demande ?

VII - A CEUX QUI REFUSENT DE DONNER OU QUI DONNENT AVEC NEGLIGENCE.

– Dieu dit

1°) - Vous ne m'honorez pas. Malachie 1 v. 6.

2°) - Vous me méprisez Malachie I v. 6

3°) - Vous me profanez Malachie I v. 7

4°) - Vous me trompez Malachie 3 v. 8 - 9.

B – Conséquences

1°) - La malédiction. Matthieu 3. v. 9

2°) - Le Diable, par les maladies et autres malheurs occasionnant des dépenses, prend ce que l'on refuse de donner à Dieu. Aggée I v. 5-6.

VIII - LA MANIERE DE DONNER A DIEU

1°) - Toute offrande doit Être salée du sel (avec goût) Lévitique v. 13.

2°) - Avec un cœur pacifique (qui pardonne) . Matthieu 5 v. 23

3°) - Avec joie et libéralité. Romains 12v8 et 2 Corinthiens 9 v. 7.

4°) - Selon notre prospérité. I Corinthiens 16 v. 2.

IX - OU FAUT-IL DONNER SA DIME?

1°) - Les Juifs apportaient leurs dons au lieu choisit par Dieu. Deutéronome 12 v. 4 - 5.

2°) - C'est à 1a maison de Dieu (Temple). Malachie 3 v. 10.

NOTA

Le Chrétien ne doit pas disposer de sa dime pour l'envoyer où il veut et à qui il veut, il doit l'apporter là où il reçoit sa nourriture spirituelle; dans 1'Assemblée où il vit.

En ce qui concerne les offrandes, il peut les envoyer où il veut et à qui il veut. Mais toutefois, il est sage de demander conseil avant d'agir.

X - COMMENT SONT UTILISES LES BIENS DE L'EGLISE ?

A - Pour le progrès de l’évangilePhilippiens 4 v. X5 – 16

1°) - Moyens de déplacements (achat de voitures, mobylettes et vélos etc...),

2°) - Moyens modernes pour toucherles âmes (achat de traités, haut-parleurs etc...).

B - Au sein de L'Eglise

1°) - Construction de lieux de réunions(chapelles et équipements : bancs - pupitres - sonorisation etc..)

2°) - Différentes aides fraternelles :

a) Serviteurs de Dieu : Pasteurs, Evangélistes et soutiens des élèves à l'école biblique. Galates 6 v. 6 - Luc 10 v. 7 - I Corint. 9 v 13-14.

b) Aux Saints (tout Chrétien en difficulté) 2 Cor. 9 v. 1

c) Aux veuves et aux orpheline, I Thimothée 5 v. 3,10,16

NOTA

1°) Pour tous ses besoins qui s'accentuent de plus en plus L'Eglise locale doit prendre ses responsabilités au lieu de s'attendre toujours à l'aide extérieure.

2°)- C'est à des hommes de confiance(anciens ou diacres) que l'Eglise doit confier la responsabilité de la gérance de ses biens matériels. 2 Chroniques 31 v. 12 - 14 - 15 et 2 Corinthiens 2 v. 13.

RESULTATS

A - Bénédictions matérielles, terrestres

- Dieu multipliera le reste pour toujours. Proverbes 3. v. 9 - 10 ; 11 v. 25 et 2 corinthiens 9 v. 8 - 10.

B - Bénédictions spirituelles présentes

1°) - Actions de grâces à Dieu (les bénéficiaires) 2 Corinthiens 9 v, 11.

2°) - Prière pour les donateurs. 2 Corint, 9 v. 14

3°) - Renouveau spirituel et conversions des âmes Malachie 3 V. 10

C – Bénédictions éternelles

1°) - Un trésor gardé pour l'éternité Luc 16 v. 9 - Matthieu 6 v. 19 - 21.

2°) - Une récompense abondante au temps convenable 2 Corinthiens 9 v. 6 et Galates 6 v. 9

NOTA

Toutefois, gardons-nous de croire que nous achetons les bénédictions de Dieu avec nos biens matériels.

XII - CONCLUSION GENERALE

La Fidélité dans ces choses, est d’une part la manifestation extérieure d’une vie réellement consacrée à Dieu ; et d'autre part, elle permet à Dieu de nous bénir richement.

Comme les autres dons de Dieu, c'est l'effet de la grâce divine qui le fait dire :« Mettez-moi de la sorte à l'épreuve .... et vous verre si je n'ouvre pas pour vous les écluses des cieux. Si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance ». Malac 1 v. 10.

Qu'il en soit ainsi pour toi, mon frère et pour toi, ma sœur.

Que La paix de Christ soit dans vos cœurs. Amen

mercredi 8 février 2017

L'art d'Afrique

Ville fleur rose

La plage Monogaga d'Abidjan.

Arc-en-ciel géant

Ciel lumineux.

WORK OF THE CHILDREN

             Work of the children

Hundreds of million children in the world work. They do not go or little school and almost never play. Their working conditions are often very difficult.

This situation is contrary with several international texts, however signed by the majority of the countries of the world. In particular, it is opposed to  the International Convention rights of the child, adoptive by UNO in 1989, which specifies that "the children should be compelled with no work comprising of the risks or likely to compromise their education".

CHILDREN WORK EVERYWHERE IN THE WORLD

According to the International Labour Office, an organization of UNO,  250 million old  children from 4 to 15 years work in the world. The majority live in countries in the process of development. Thus in Asia, 1 child out of 2 works. In Africa, they are 1 out of 3, and in South America 1 out of 5.
But this phenomenon also exists in the industrialized countries. One estimates at 2 million the number of children who work in all Europe.

WHY CHILDREN ARE OBLIGED TO WORK ?

It is before all the poverty  which obliges the children to work. Often, the wages gained by a child enable him to help his family, especially if his/her parents are with unemployment or if they have problems of health.
In the majority of the cases, the child work corresponds to  an exploitation: the children are exploited because they are easier to order than the adults. They do not strike, even when the working conditions are painful. By fear of the reprisals, they never revolt. They often are very badly paid. For certain employers dishonest persons, they thus constitute a profitable labour, which pays much without being expensive.

WHICH ARE THE VARIOUS FORMS OF THE CHILD WORK?

It often happens that the children work quite simply on their premises, to help their family: they prepare the meals, deal with the house, take care of their little brothers and sisters, they work with the fields, deal with the animals, etc. Even it is not a question itself of very painful working conditions, the obligation to achieve these tasks prevents them opening out, from informing themselves and of living their childhood fully: they do not have time to go to the school, nor to play or to rest.
When they work outside, the children can be employed as  servants. It is the case of the majority of the girls of less than 16 years which work in the world. Often, they are true slaves, badly nourished, working up to 20 hours per day.
In many countries in the process of development, the children represent until  a third of the agricultural labour. They work for example in the exploitations of cane with sugar. One also makes work the children in  industry  and  the craft industry  (factories of clothing, shoes, carpet, toys).
Certain forms and working conditions are particularly harmful for the health and the safety of the children. Work in the mines, for example, is particularly painful and dangerous. Because of their small size, one uses sometimes children to be introduced into the tanks of the tankers and to clean them; they are then in contact with dangerous products for their health.
In the most difficult situations, the children who cannot count any more on the assistance of their family must live in the street. To survive,  the children of the streets  wax shoes, collect refuse or beg. They then become easy preys for certain adults who are useful themselves of them to practise prohibited activities (such as the traffic of drugs), or which exploit their body (for example by obliging them with prostituer).
Lastly, when a country is in war, it happens that children are enrôlés of force to fight. In the engagements, these "children soldiers " often find themselves in first line.

CAN ONE PROHIBIT THE CHILD WORK?

There are already international laws  which regulate the child work. International Labour Organization (ILO) fixed at 15 years the minimum age to work and precise that no minor must be affected with dangerous work. But these laws are not used for nothing if the States do not apply them.
It is not thus enough to prohibit the child work to abolish it.Moreover, the child work to a large extent is caused by poverty. The solution to fight against the child work is thus  to reduce poverty. For this reason in 1991 an international Program for the abolition of the child work was created, the IPEC. The actions of the IPEC are financed by the richest countries of the world. In India, for example, one builds schools and one proposes a financial assistance with the parents to incite them to send their children to it.
For the moment, in the countries where one cannot prevent the child work completely, it is indeed significant that the children reach the instruction all the same, because the education of the population of a country is necessary so that the country develops economically.

Can't One STOP BUYING The PRODUCTS MANUFACTURED BY CHILDREN?

In fact, the great majority of the products manufactured by children in the countries in the process of development is sold on the spot. Only a small quantity is exported towards the rich countries.
In 1992, the United States wanted to prohibit the importation of the clothing made by children. In Bangladesh, 50 000 children thus lost their employment. But they are not turned over to the school for as much: they recovered to seek work, and as there was not, some finished by flying or prostituer.
There is not miracle solution. Indeed, it is necessary for all  to sensitize the opinion  because this phenomenon is still badly known. It is besides the objective of the world day against the child work, which takes place every year on June 12.

La Basilique Notre Dame de la paix de Yamoussoukro.

La fête des lumières à ABIDJAN, décorée sur une charrette...

Un échangeur de haute gamme !

Le plus grand échangeur de la ville d'Abidjan.

L'échangeur de la ville d'Abidjan.

Le jet d'eau lagunaire de la ville d'Abidjan.

Le jet d'eau lagunaire de la ville d'Abidjan.

ABIDJAN, la capitale Ivoirienne 5 ÉTOILE !

Le stade Houphouët Boigny d'Abidjan.

La Cathédrale Saint Paul du Plateau, ABIDJAN.

Le stade Félix Houphouët Boigny d'Abidjan.

mardi 7 février 2017

LE TRAVAIL DES ENFANTS

Le travail des enfants

Des centaines de millions d’enfants dans le monde travaillent. Ils ne vont pas ou peu à l’école et ne jouent presque jamais. Leurs conditions de travail sont souvent très difficiles.
 
Cette situation est contraire à plusieurs textes internationaux, pourtant signés par la majorité des pays du monde. En particulier, elle s’oppose à la Convention internationale des droits de l’enfant, adoptée par l’ONU en 1989, qui précise que « les enfants ne doivent être astreints à aucun travail comportant des risques ou susceptible de compromettre leur éducation ».

DES ENFANTS TRAVAILLENT PARTOUT DANS LE MONDE

Selon le Bureau international du travail, une organisation de l’ONU, 250 millions d’enfants âgés de 4 à 15 ans travaillent dans le monde. La plupart vivent dans des pays en voie de développement. Ainsi en Asie, 1 enfant sur 2 travaille. En Afrique, ils sont 1 sur 3, et en Amérique du Sud 1 sur 5.
Mais ce phénomène existe aussi dans les pays industrialisés. On estime à 2 millions le nombre d’enfants qui travaillent dans toute l’Europe.

POURQUOI DES ENFANTS SONT-ILS OBLIGÉS DE TRAVAILLER ?

C’est avant tout la pauvreté qui oblige les enfants à travailler. Souvent, le salaire gagné par un enfant lui permet d’aider sa famille, surtout si ses parents sont au chômage ou s’ils ont des problèmes de santé.
Dans la plupart des cas, le travail des enfants correspond à une exploitation : les enfants sont exploités parce qu’ils sont plus faciles à commander que les adultes. Ils ne font pas la grève, même lorsque les conditions de travail sont pénibles. Par peur des représailles, ils ne se révoltent jamais. Ils sont souvent très mal payés. Pour certains employeurs malhonnêtes, ils constituent ainsi une main d’œuvre rentable, qui rapporte beaucoup sans coûter cher.

QUELLES SONT LES DIFFÉRENTES FORMES DU TRAVAIL DES ENFANTS ?

Il arrive souvent que les enfants travaillent tout simplement chez eux, pour aider leur famille : ils préparent les repas, s’occupent de la maison, prennent soin de leurs petits frères et sœurs, ils travaillent aux champs, s’occupent des bêtes, etc. Même s’il ne s’agit pas de conditions de travail très pénibles, l’obligation d’accomplir ces tâches les empêche de s’épanouir, de s’instruire et de vivre pleinement leur enfance : ils n’ont pas le temps d’aller à l’école, ni de jouer ou de se reposer.
Lorsqu’ils travaillent à l’extérieur, les enfants peuvent être employés comme domestiques. C’est le cas de la plupart des filles de moins de 16 ans qui travaillent dans le monde. Souvent, ce sont de véritables esclaves, mal nourris, travaillant jusqu’à 20 heures par jour.
Dans de nombreux pays en voie de développement, les enfants représentent jusqu’à un tiers de la main d’œuvre agricole. Ils travaillent par exemple dans les exploitations de canne à sucre. On fait également travailler les enfants dans l’industrie et l’artisanat (fabriques de vêtements, de chaussures, de tapis, de jouets).
Certaines formes et conditions de travail sont particulièrement nuisibles pour la santé et la sécurité des enfants. Le travail dans les mines, par exemple, est particulièrement pénible et dangereux. Du fait de leur petite taille, on utilise parfois des enfants pour s’introduire dans les cuves des pétroliers et les nettoyer ; ils sont alors en contact avec des produits dangereux pour leur santé.
Dans les situations les plus difficiles, les enfants qui ne peuvent plus compter sur l’aide de leur famille doivent vivre dans la rue. Pour survivre, les enfants des rues cirent des chaussures, ramassent des ordures ou mendient. Ils deviennent alors des proies faciles pour certains adultes qui se servent d’eux pour pratiquer des activités interdites (telles que le trafic de drogues), ou qui exploitent leur corps (par exemple en les obligeant à se prostituer).
Enfin, lorsqu’un pays est en guerre, il arrive que des enfants soient enrôlés de force pour combattre. Dans les combats, ces « enfants soldats » se retrouvent souvent en première ligne.

PEUT-ON INTERDIRE LE TRAVAIL DES ENFANTS ?

Il existe déjà des lois internationales qui réglementent le travail des enfants. L’Organisation internationale du travail (OIT) a fixé à 15 ans l’âge minimum pour travailler et précise qu’aucun mineur ne doit être affecté à des travaux dangereux. Mais ces lois ne servent à rien si les États ne les appliquent pas.
Il ne suffit donc pas d’interdire le travail des enfants pour l’abolir. De plus, le travail des enfants est pour une large part provoqué par la pauvreté. La solution pour lutter contre le travail des enfants est donc de réduire la pauvreté. C’est pour cette raison qu’a été créé en 1991 un Programme international pour l’abolition du travail des enfants, l’IPEC. Les actions de l’IPEC sont financées par les pays les plus riches du monde. En Inde, par exemple, on construit des écoles et on propose une aide financière aux parents pour les inciter à y envoyer leurs enfants.
Pour l’instant, dans les pays où l’on ne peut pas empêcher totalement le travail des enfants, il est en effet important que les enfants accèdent tout de même à l’instruction, car l’éducation de la population d’un pays est nécessaire pour que le pays se développe économiquement.

NE PEUT-ON PAS ARRÊTER D’ACHETER LES PRODUITS FABRIQUÉS PAR DES ENFANTS ?

En fait, la grande majorité des produits fabriqués par des enfants dans les pays en voie de développement est vendue sur place. Seule une petite quantité est exportée vers les pays riches.
En 1992, les États-Unis ont voulu interdire l’importation des vêtements faits par des enfants. Au Bangladesh, 50 000 enfants ont ainsi perdu leur emploi. Mais ils ne sont pas retournés à l’école pour autant : ils se sont remis à chercher du travail, et comme il n’y en avait pas, certains ont fini par voler ou se prostituer.
Il n’existe pas de solution miracle. En effet, il faut avant tout sensibiliser l’opinion car ce phénomène est encore mal connu. C’est d’ailleurs l’objectif de la journée mondiale contre le travail des enfants, qui a lieu tous les ans le 12 juin.

Un père de famille exemplaire...

En absence de la maman...

Le géant serpent Anaconda découvert par la population...

May God give you a daughter.

Le Nom de Dieu écrit par ces enfants....

À 106 ans, cette vieille femme lave ses vêtements elle même.

Une mère plein de courage...!

dimanche 5 février 2017

CÔTE D'IVOIRE, UNE TERRE D'AMOUR.

ARTISTE PEINTRE A REPRODUI LE FOOTBALLEUR INTERNATIONAL IVOIRIEN DIDIER DROGBA

LA CASCADE DE LA VILLE DE MAN.

THIS BOY HAS BUILT A BUILDING OF 11 FLOORS WITH WOOD BAMBOO.

SOS , AFRICA KIDS. HELP US, PLEASE!

ABIDJAN, VILLE LUMIÈRE, VILLE 5 ÉTOILE.

ICI C'EST ABIDJAN, VILLE LAGUNAIRE !

TRÈS BELLE, LA VILLE D'ABIDJAN !

ICI C'EST ABIDJAN, pas besoin d'aller à New York !

ADMIREZ ABIDJAN, LA VILLE LUMIÈRE !

ABIDJAN, LA PERLE DES LAGUNES.

ABIDJAN, VILLE LUMIÈRE.

LA CATHÉDRALE DE ABIDJAN.

ICI C'EST ABIDJAN !

ABIDJAN, PEARL LAGOONS.